La semaine dernière, une polémique avait ébranlé le tennis français. A quelques semaines du match de Coupe Davis contre l’Allemagne, Gaël Monfils affirmait son souhait de ne pas jouer. Pour le convaincre de revenir sur sa décision, Arnaud Clément a dû sortir son plus bel argument : sa femme, Nolwenn Leroy.
Critiqué régulièrement pour son manque d’initiative, Arnaud Clément ne s’est pas démonté. Déjà handicapé par l’absence de son Monsieur Kinder Bueno, il a rapidement compris qu’une élimination dès le premier tour pourrait signifier son éviction. En accord avec sa femme, la chanteuse Nolwenn Leroy, il a accepté l’impensable.
L’offre est parvenue hier soir à Gaël Monfils. En échange de sa participation, il pourra bénéficier d’une soirée en tête-à-tête avec la ravissante chanteuse. Alors que plusieurs féministes lèvent le bouclier pour dénoncer une « marchandisation dégoûtante de la femme », Arnaud Clément se défend en avançant le consentement de sa femme :
« Nolwenn est une grande femme, elle n’est pas manipulable. Cette décision a été prise d’un commun accord. Avec l’achat de notre dernière demeure, on ne peut se permettre mon licenciement. Elle ne se sacrifie pas pour moi mais pour notre foyer. Et puis, en quoi cela est interdit ? Lisez les termes du contrat avant de critiquer. »
En effet, aucune ligne du contrat ne mentionne des activités illégales. A en croire les clauses, les deux parties s’engagent seulement pour un repas suivi d’un show privé reprenant les plus belles chansons bretonnes ! Tout autre événement survenant ne résulterait que d’une « situation voulue entre deux adultes consentants ».
En cas de défaite de la Monf, le contrat deviendrait nul. Pis, il se verrait condamner à des pénalités financières prévoyant le financement intégral du coin de SPA de la maison d’Arnaud Clément. De quoi surmotiver Gaël !
Chacun joue gros dans cette affaire. Mais on se demande surtout ce que gagne le sport français ! Un nouveau cap semble franchi et fait craindre le pire pour l’avenir